Roan Vane - I'll sleep on a bed of nails

Bonjour toi qui me lit, moi c'est Roan Vane mais en réalité on m'appelle plutôt Capitaine Vane. J'ai 36 car je suis né un 4 mai à Brise-Air. D'origine humain, brise-airje suis pirate et mon niveau de vie est MOYEN . hétéro et celibataire je vis à sur mon navire.

001. il déteste l'eau chaude. 002. il joue de la guitare 003. il a égorgé sa propre mère 004. c'est un client fidèle du bordel de Brise-Air 005. il a une grande cicatrice à la jambe droite (morsure de requin lorsqu'il n'avait que 14 ans).

me myself and I. Vane n’a pas de cœur, du moins c’est ce qu’on prétend. Le contraire est pourtant vrai. Mais il a très jeune apprit à cacher ses sentiments et à ne rien laisser paraitre. Il donne donc l’impression d’être un homme sans cœur, froid, cruel et calculateur. Il n’a aucune pitié pour ses ennemis et n’a pas peur des conséquences de ses actes. D’ailleurs il se fiche bien si ses actes font du mal à d’autres. Il assume complétement ce qu’il est. Il a toujours détester qu’on lui donne des ordres. Il a tendance à n’obéir qu’à sa propre personne et se fiche bien des sentiments d’autrui. Pourtant le peu de gens qu’il considère comme ami, peuvent réellement avoir confiance en lui. Car il remuera terre et ciel pour eux, quitte à faire quelques meurtres ou torturer des gens si il faut passer par là. Il n’a peur de rien, même pas de la mort. Et rien que ce fait-là fait de lui un adversaire qu’il ne faut pas sous-estimer. Roan n’a que très peu de faiblesses, et ceux-ci il a tendance à bien savoir les cacher.

SashaSasha, et je me souviens plus trop d'ou j'ai connu le forum...Ah si... je suis un des créateurs!! XD Et oui... je suis un vrai boulet! Néanmoins je l'adore déjà et j'ai hâte de pouvoir RP avec tout le monde!!

Allongé dans le lit, j’observe la jeune prostituée prendre son gain et partir. Elle était bonne. Faible d’esprit mais ce n’était pas pour cela que j’étais ici. Si j’avais voulu discuter avec quelqu’un je serais resté sur mon navire. Mon regard se pose sur le plafond de cette chambre, je pense à elle. Je me demande ce qu’elle est en train de faire. Peut-être que tout comme moi, son regard est posé sur le plafond de sa chambre… Peut-être venait-elle également de faire l’amour… avec son mari… Je soupire et me lève, je n’ai pas envie de penser à elle. Elle est surement ma plus grande erreur et ma plus grande faiblesse. Mais que puis-je dire pour ma défense ? J’aime jouer avec le feu. J’attrape mes vêtements et retrouve le froid de décembre. Je n’ai jamais aimé cette ville, je préfère de loin l’océan et mon navire.  D’aussi loin que je m’en souvienne j’ai toujours eu une fascination pour la mer et les aventures que celle-ci puissent présenter. Même gamin, j’étais plus au port que chez moi. Pourtant mon père n’était pas marin, il ne savait même pas nager. J’ai dû apprendre à nager par moi-même comme bien d’autres choses. Je n’ai jamais pu compter sur mon père, ni sur ma mère d’ailleurs. Je n’étais qu’un fardeau pour eux, qui n’ont jamais voulu avoir un enfant. J’étais un petit accident de parcours, qui les avaient obliger de se marier. Et au final je pense que mes parents ne se sont même jamais aimés. J’étais vraiment la corde autour de leur cou qui les obligeaient à former une famille.

D’ailleurs autant avouer que le mot « famille » ne signifie rien pour moi. Mes parents n’ont jamais su comment être une famille. Gamin je jetais fort souvent un regard jaloux sur les autres enfants – qui contrairement à moi- avaient des parents qui les aimaient. Moi je me suis toujours senti rejeté par eux. Et c’est surement pour cela que j’ai voulu devenir marin… mais c’était contre l’envie de mon père qui voulait que je reprenne « l’entreprise familiale » ou dans les termes que moi j’utilisais « enterrer les cadavres ». Il en était hors de question… on en est venu aux mains et j’ai fini par le tuer avec la bouteille d’alcool qui trainait sur la table. C’était qu’un accident, mais ma mère – qui pourtant avait jamais aimé mon père- s’en est pris à moi. Il faut croire qu’à force d’habiter ensemble elle avait commencé à ressentir une certaine affection envers cet homme (pourtant elle ne lui a jamais montré lorsqu’il était vivant). Je n’ai pas su faire autrement, et elle aussi à succombé sous mes mains. Après ça… hors de question de me faire attraper par les légionnaires. Et je ne pouvais plus devenir marin… Alors la voie que j’ai fini par prendre fut la seule option qui m’offrait ce que je voulais : liberté et océan. Il s’agissait de la voie de la piraterie. J’ai pris le premier équipage qui voulait bien d’un novice, et j’ai quitté Brise-Air en tant que jeune adolescent. Je n’ai plus remit les pieds à Brise-Air avant au moins 10 ans.

J’étais un homme endurcit lorsque je suis retourné à Brise-Air. J’ai recherché des hommes et des femmes pour former mon propre équipage. Car eh oui, j’avais récolté une belle petite somme, assez pour m’offrir un navire. Comment j’ai obtenu tout ce fric ? Et bien ça c’est un secret que je ne compte pas dévoiler, il y a bien des rumeurs qui courent à propos de l’argent. Rumeurs que je ne contredit pas, mais je les confirme pas non plus. Les années se sont écoulés et je suis devenu l’homme que je suis actuellement : un capitaine, un pirate avec une réputation a faire peur